Mais c'est vrai ça, au fait, qui est donc l'ex-championne du grand écart facial entre deux tables dans les boîtes de nuit parisiennes les plus branchées, toujours entourée par de grands et beaux gays, et qui foule actuellement chaque dimanche les pavés parisiens les plus prestigieux pour défendre le modèle familial soi-disant parfait ? Serait-ce la Jeanne d'Arc des temps modernes ? Celle qui va sauver la veuve et l'orphelin des... Ah ben non, ça ne colle pas... Alors, celle qui va sauver l'espèce humaine en rendant aux enfants tout le bonheur qui leur est dû ?
C'est vrai que l'éducation n'est qu'un point purement anecdotique dans la vie de tout un chacun : peu importe la qualité des parents, du moment qu'on a tous un papa et une maman (non mais des vrais, hein, un papa et une maman sexués mais dans le bon sens), on est forcément épanoui ! Le reste, c'est comme amener une bougie sous l'eau pour éclairer les fonds marins, ça ne sert à rien ! (On la sent bien l'ironie, là ?)
En tout cas, des humoristes se sont chargés de nous raconter le passé de cette maintenant célèbre meneuse de manif', j'ai nommé Frigide Barjot la bienheureuse (sûrement un brin plus barjot que frigide, d'ailleurs) ! Et c'est sous la houlette d'Antonia de Rendinger que Florent Peyre, Artus, Sacha Judaszko et Donel Jack'sman nous proposent le passé décalé (et bien sûr inventé) de la petite Virginie Merle, nous prouvant une fois de plus que "talent" et "impertinent" ont de bonnes raisons de rimer.
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