lundi 31 décembre 2012

Et ma joie demeure...

Dans une époque valétudinaire (Whouh ! Casé dès la première ligne !) où la référence est de ne plus rien apprécier totalement, à une époque où les critiques prennent du galon grâce à la précision de leurs tirs et où les chroniqueurs les plus appréciés sont devenus de véritables snippers, je vous propose ici une trêve bien méritée. Je déploie donc le fameux drapeau blanc le temps de vous parler d'un spectacle qui m'a tout simplement bouleversée.
Râleurs, éternels insatisfaits, bougons et autres pénibles en tout genre, merci de passer votre chemin ou acceptez le risque de basculer du côté lumineux de la Force !
J'aurais adoré que mon regretté Louis de Funès vienne m'interroger à ce sujet. "Chère amie, chère amie", m'aurait-il dit, "qu'avez-vous donc pensé du dernier spectacle d'Alexandre Astier, "Que ma joie demeure !" qu'il a interprété devant vous vendredi 21 décembre 2012 à la Bourse du Travail de Lyon ?" "Euh, whaouh !" lui aurais-je répondu, tant les mots pour parler de ce fabuleux spectacle m'auraient manqué et la rencontre avec Louis m'aurait émue. Sur un ton mielleux dont lui seul détient le secret, il aurait alors répliqué : "Mmmmm, ma biche, c'est bien trop court ! Je meurs d'envie d'en apprendre davantage. Veuillez détailler, s'il vous plaît, et n'ayez pas peur d'être très précise." Bon, si c'est Louis qui me le demande, je m'exécute sans sourciller. Je vais donc tenter de décortiquer mes propres pensées. Et ça commence, maintenant ! Bon voyage !

Affiche d'Alexandre Astier via http://lyon.onvasortir.com/a-astier-au-theatre-de-la-x-rousse-1682651.html

Laissez-moi d'abord vous planter le décor. Comme j'ai toujours un train de retard, je n'ai appris qu'en mai qu'Alexandre Astier, papa, entre autre, de la génialissime série Kaamelott (oui, j'avoue, je suis fan), allait se produire en juin à Lyon dans son nouveau spectacle intitulé "Que ma joie demeure !". Du coup, il était déjà trop tard pour réserver une place... Sans grand espoir, je me suis inscrite sur un site de vente de billets en ligne de manière à être alertée d'un éventuel rajout de dates. Et, le miracle s'est produit par un beau matin de juillet ! De nouvelles représentations s'étaient greffées pour fin décembre à Lyon ! Ouverture de la billetterie prévue à 10 heures. J'attendais patiemment devant mon écran et, à l'heure dite, je me suis précipitée sur le plan de la salle pour choisir nos places. C'était sûrement mon jour de chance car j'étais la première sur le site et il restait donc les deux fauteuils au centre du premier rang ! Ni une ni deux, je les ai réservés, et j'ai savouré ma revanche...

Bourse du Travail, Lyon, via http://fr.wikipedia.org/wiki/Fichier:Bourse_du_travail_de_Lyon_(5).jpg

 
Bourse du Travail, Lyon, © Ville de Lyon
Bourse du Travail, Lyon, © Ville de Lyon
 Pour certains, le 21 décembre 2012 était de mauvaise augure, pour moi, la fin du monde a été splendide...
 
20h45, on rejoint nos sièges à la Bourse du Travail. Petite sensation de malaise au départ car on n'a pas vraiment l'habitude de se trouver à ces places de choix. Mais, croyez-moi, on y prend très vite goût ! D'autant qu'à côté de nous il y a un père et son jeune fils, un peu plus loin deux amies... On ne dénote donc pas du tout, ce qui a vite fait de nous rassurer. On se penche ensuite sur le programme, l'occasion pour moi de me rendre compte que le thème n'est pas Beethoven mais Jean-Sébastien Bach (que je vais me permettre de noter JSB à partir de maintenant car c'est un peu long à taper). Je remballe donc discrètement toutes les discussions que j'avais prévues sur la Lettre à Elise, la Symphonie pastorale et la Sonate "Clair de lune" et j'étudie le programme d'une manière plus studieuse. Je lis alors qu'Alexandre Astier est auteur, réalisateur, acteur, compositeur, metteur en scène, monteur... Bon, tout ça je le sais déjà mais redit en cinq minutes ça fait son petit effet, quand même ! Je constate aussi que ce spectacle est le lauréat du Prix du Jeune Théâtre de l'Académie Française 2012, rien que ça ! Je commence donc à être de plus en plus curieuse mais, jusque là, je me contrôle encore. Je pousse ma lecture un peu plus loin et je remarque alors que la mise en scène est de Jean-Christophe Hembert, l'inoubliable seigneur Karadoc de la série Kaamelott. Je me retourne vers la régie et je le vois en personne y accéder. Petit bonheur intérieur, je sens qu'on va assister à quelque chose de grand. Un dernier coup d'oeil au programme va définitivement me convaincre : les costumes sont d'Anne-Gaëlle Daval, épouse d'Alexandre Astier mais aussi responsable des costumes de la série Kaamelott. C'est donc encore une histoire de Famille, tout ce que j'aime. Alors, plus de doute, je vais être conquise car l'histoire semble d'ores et déjà belle. Je suis d'ailleurs passée dans un état second et je me laisse le droit de savourer par avance ce qui va m'arriver.

Alexandre Astier à l'Académie Française via www.academie-francaise.fr/alexandre-astier-0

Je trépigne d'impatience... La lumière s'éteint...Une voix retentit... La cape de JSB fend l'air et ce léger vent vient effleurer nos visages (je sais à présent que ça sent bon, un artiste).
Et c'est parti pour 1h40 d'étrange fascination...

Je ne vais pas vous livrer là tous les détails du spectacle car cela risquerait de gâcher le plaisir de celles et ceux qui pourraient avoir la chance de le voir sur scène (ou même sur DVD). Néanmoins, je vais vous faire part de ce qui m'a tant envoûtée.
Tout d'abord, le décor choisi est simple mais semble authentique et la mise en scène est totalement au service du jeu d'acteur. On change de lieu, d'époque, de narration en un clin d'oeil mais sans être perdu grâce à l'interprétation et au choix des lumières.
Ensuite, le costume de JSB, est tout simplement beau. Mon époux lui a d'ailleurs trouvé une certaine ressemblance avec sa tenue de marié, ce qui est un gage de qualité à n'en point douter !
La diction est parfaite, à faire pâlir de jalousie les commentateurs sportifs les plus expérimentés ! Moi qui croyais qu'on bafouillait systématiquement en s'énervant ou en s'égosillant... En fait, non. Le phrasé, la vitesse d'élocution sont affaire de travail et de talent. Tout simplement.
Et que dire de la justesse d'interprétation ? Eh bien, qu'elle est tout bonnement incroyable ! Et je sais de quoi je parle car j'étais en face, à deux mètres à peine de lui. Aucune tricherie possible. Le regard est habité, la concentration totale. Contempler dans les yeux un artiste de cette trempe est une expérience troublante que je ne suis pas prête d'oublier. Elle laisse l'impression, sûrement saugrenue, de réussir à lire au-delà des apparences, d'aller titiller l'âme. C'est formidable !
Alexandre Astier nous livre un cours magistral unique et passionnant. Ses connaissances en musique ramènent au grade de novices les musiciens les plus chevronnés (et moi qui pensais m'y connaître un peu en solfège, me voilà rhabillée pour l'hiver, tenue de ski comprise !). Ce qui est, en outre, stupéfiant, c'est que malgré les nombreux points techniques abordés (contrepoint, harmonie...), rien n'est rébarbatif. Il jongle à merveille avec ses mots, ceux qu'il met en musique et les maux de JSB, compositeur de génie dont la tristesse semble avoir été proportionnelle à son talent. Il faut dire que perdre dix enfants laisse des traces indélébiles. Après tout, les génies ne sont que des hommes, même s'ils sont largement plus doués que les autres.

En résumé, c'est drôle, touchant, émouvant, captivant, fascinant... et même un poil impertinent ! Je me suis égarée dans l'espace temps. J'ai vraiment eu le sentiment d'avoir rencontré JSB (serait-ce le début d'une aliénation quelconque, pour moi ?), d'être rentrée dans son esprit tourmenté et créatif, et d'avoir assisté à des moments intimes de son existence, glorieux ou ténébreux.
J'ai dû passer deux heures, ce soir-là, bouche bée et yeux écarquillés. C'est d'ailleurs peut-être grâce à cela que j'ai eu l'immense privilège d'incarner, pendant un bref instant, la femme aux pigeons morts (attachés à sa ceinture, si ma mémoire est bonne).

Affiche de "Que ma joie demeure !" via http://www.onenagros.org/2012-08-06-que-ma-joie-demeure-en-dvd-le-6-novembre.html

Nous avons fini le spectacle par un rappel en forme de cours de chant. C'est là que j'ai compris qu'Alexandre Astier est aussi un grand magicien car il a réussi à faire chanter une salle de 1600 personnes sur un chant polyphonique à quatre voix (de toute beauté) sans fausseté ! Chapeau, l'artiste !
Ultime ovation : Lyon est debout, ému et heureux face à l'enfant prodige du pays. Une dernière boutade sur les talonnettes de ce dernier car elles ont failli lui causer bien du tracas pendant les saluts. Les privilégiés, dont je fais partie, auront entendu son fabuleux et souriant, je cite : "C'est de la merde !". Et le voilà parti, pour de bon...
A la sortie, les commentaires sont dithyrambiques. Un monsieur se pose tout de même la question des moments douloureux. Peut-on en rire ? Moi, je me range définitivement du côté de ce bon vieux Prévert qui disait : "On peut rire de mourir et mourir de rire."

Il ne me reste plus qu'à en faire profiter mes trois petits bouts et mes élèves de CM1, à ma manière, bien sûr : n'en déplaise à certains, chez moi nulle date, nul pipeau, juste le plaisir de l'écoute et la joie de l'interprétation. Mon mari, quant à lui, a choisi de travailler les fractions en étudiant la composition des mesures. C'est un prof de maths, ça ne s'invente pas !

Jean-Sébastien Bach via http://www.devoir-de-philosophie.com/dissertation-musique-jean-sebastien-bach-119785.html
 
En ce jour de fin du monde, j'ai donc assisté à quelque chose de sensationnel : un génie qui en interprète un autre. J'ai découvert un artiste talentueux, généreux et attachant, capable de nous émouvoir, mais aussi bien sûr de nous faire rire.
J'ai également compris qu'on ne décide pas d'être fan mais que c'est un sentiment qui s'impose à nous, sans crier gare. Et là, je dois avouer que j'ai littéralement succombé. Cette rencontre a été bouleversante...
J'envie, désormais, les spectateurs de Saint-Etienne qui vont avoir la chance de passer le réveillon avec ce comédien émérite. Mais bon, à chacun son tour...

Pour tout cela, MERCI, Monsieur Astier... et à bientôt ! Car dès que vous déciderez de fouler à nouveau les planches lyonnaises, soyez assuré de ma présence.

Je finirai sur cette phrase du grand Louis de Funès : "Le comique, ce n'est pas seulement du talent, mais c'est surtout un don, une façon de sentir, de pouvoir comprendre et interpréter !" Et ce don, assurément, vous l'avez.

Que votre joie demeure !

La mienne perdure...

jeudi 27 décembre 2012

Femme au volant...

Pour Arnaud Tsamère et Nicole Ferroni, ce sera femme au volant, rire au tournant.

samedi 22 décembre 2012

Merry Christmas !

Il existe, de par le monde, quelques illuminés (pour le coup, c'est vraiment le cas de le dire), qui embellissent leurs propriétés avec tout un attirail incroyable. Ce sont des professionnels ou bien des amateurs, mais en tout cas, une chose est sûre, ils sont tous passionnés.
 
De nombreux exemples circulent sur internet. Ici, je vous en propose trois. Attention, c'est son et lumière donc restez bien devant votre écran et augmentez le volume.
 
Le premier est une des nombreuses réalisations de Richard Holdman (merci Tata pour la découverte), sur le titre Amazing Grace, quelque peu remixé.
 
 


Les deux suivants sont tout nouveaux et leurs auteurs ont choisi de miser sur une valeur sûre actuellement, le Gangnam Style de Psy.



 
 
Personnellement, j'ai un coup de coeur pour la première oeuvre car il y a des surprises, notamment de couleur, jusqu'à la fin. Par ailleurs, c'est plus court et on ne tombe donc pas dans la répétition qui peut finir par lasser.
 
Et vous, quel est votre spectacle préféré ?

Question existentielle

Encore Monsieur Jérémy Ferrari !

mercredi 19 décembre 2012

Oups ! C'est la boulette !

Heureusement, ce n'est qu'un sketch !

Enfin, Nicole Ferroni s'est tout de même inspirée d'une histoire vraie...

vendredi 14 décembre 2012

Plus vrai que nature !

Artus et Antonia d'ONDAR nous proposent ici un sketch dont le thème est l'émission "Qui veut épouser mon fils ?". Son originalité provient du texte : c'est une accumulation de phrases cultes rencontrées dans diverses émissions de téléréalité. Et, le moins que l'on puisse dire c'est que cela fait mal...
 
Je regrette néanmoins l'absence de la très célèbre réplique de notre ami Greg le millionaire à la charmante Marjolaine, phrase non pas célèbre pour sa délicatesse, sa poésie ou sa réflexion poussée mais plutôt pour son côté, comment dire... très (trop) nature et spontané : "Je suis dur de partout !". Je vous laisse méditer sur le sens profond de ce message...
 

mercredi 12 décembre 2012

THE interview !!!!

Pour ceux qui l'ont manquée, je vous propose une séance de rattrapage de THE interview de Mylène Farmer, celle qu'il ne fallait surtout pas rater (et que j'ai moi-même découverte il y a deux jours à peine...) !
 
Bref, Mylène était l'invitée du journal de Claire Chazal dimanche 2 décembre 2012 à 20 h.
 
Que vous dire sur ces cinq minutes ? Eh bien, tout y passe : l'explication du titre de son album, le succès de son disque, sa complicité avec Laurent Boutonnat, la fidélité de son public, ses futurs concerts, la pochette de son album, le mariage pour tous...
 
Il est toujours très délicat de commenter une interview de cette artiste tellement chaque mot semble réfléchi, pesé, jaugé avant d'être offert. Toutefois, si je ne devais en retenir qu'un seul passage de ce moment touchant, ce serait celui-là : "Et quant au mariage gay [...], je pense que le débat est étonnant en ce sens que... Comment vous dire ? Il me semble que c'est une question d'égalité, tout simplement. Voilà. Les droits de l'Homme, c'est l'égalité avant tout, la liberté... et je ne vois pas pourquoi je m'y opposerais."

Maintenant je sais pourquoi je t'aime, Mylène...
 
 

 
PS : Soyez courageux car cela commence par une minute de publicités.

mardi 11 décembre 2012

Un peu moins de bruit, STP !

Ayant eu la joie de donner la vie à plusieurs reprises, je m'amuse toujours en regardant ce sketch. J'ai donc décidé de vous en faire profiter.
 
Après chaque visionnage, je me dis qu'effectivement, on n'est jamais mieux servi que par soi-même ! En outre, cela me rappelle la chance que j'ai d'avoir mes chers amis auprès de moi car la copine interprétée par Nicole Ferroni est quelque peu... dépassée !
 
Enjoy !

 
 
Une dédicace particulière à ma meilleure amie...

lundi 10 décembre 2012

dimanche 9 décembre 2012

Du coup, c'est elle !

Finalement, après un match très serré sur les réseaux sociaux entre Miss Bourgogne et Miss Tahiti, c'est la première qui l'a emporté. La deuxième n'a, pour autant, pas démérité : elle est première dauphine. Toutefois, c'est le public qui a décidé et, à en croire les résultats, la jeune étudiante en médecine a su largement conquérir le coeur des Français car elle a recueilli 41.67 % des voix des télespectateurs (Miss Tahiti n'a atteint que 23.94 % des suffrages).
 
Félicitations, donc, à notre nouvelle reine de beauté, Marine Lorphelin (Miss Bourgogne, Miss France 2013) !
 
Marine Lorphelin, Miss France 2013 - Photo via tvmag.lefigaro.fr
 
Sylvie Tellier a l'air ravi et la décrit comme une personne "fraîche, naturelle, cultivée, curieuse". Elle ne manque pas non plus de rappeler que la nouvelle Miss est arrivée première au test de culture générale.
 
Par ailleurs, quand on sait que c'est sur les conseils avisés de sa grand-mère, décédée l'an dernier, qu'elle s'est présentée à cette élection, on espère qu'elle aura hérité de la clairvoyance de son aïeule.
 
Apparemment, c'est bien le cas puisqu'elle souhaite défendre la cause des enfants et le don d'organes, choix que je trouve, à titre personnel, très judicieux.
 
Je souhaite donc une bonne année de règne à Marine !
 
 

Ca aurait pu être "elle" !

Eh bien oui, sachez-le, si Monsieur Alain Delon, Président d'honneur à vie pour l'élection de Miss France, avait dit "oui", notre nouvelle Miss France aurait pu s'appeler Miss Samantha Switch, représentant la Loutre de Mer ! En tout cas, son manager, Jamel Debbouze, en était convaincu car sa pouliche Gad Elmaleh  a vraiment tout pour plaire. Une compilation d'atouts !
 
A vous de vous faire une idée...
 
 

C'est psychique !

Parce qu'il est annoncé mardi 11 décembre 2012 sur France 2, je n'ai pas pu résister à l'envie de vous passer un extrait du film "Le petit baigneur" pour vous inciter à (re)découvrir ce grand classique de Monsieur Louis de Funès, pour moi le plus grand magicien de tous les temps (assurément, car c'est le seul capable de me faire passer des larmes au rire en moins de temps qu'il n'en faut pour le dire) !
 
Laissez-vous tenter...
 
 

vendredi 7 décembre 2012

Jeux de mains...

Oh ! Qu'ils sont mignons tous les deux !

La guéguerre, les mots doux... Ca en fait des rebondissements !

Mais jusqu'où iront-ils ?


                              Quand Copé et Fillon s'envoient des mots doux à... par BFMTV

jeudi 6 décembre 2012

Un mauvais anniversaire surprise

Attention, potentiel repéré !
 
Encore une petite dose d'humour avec, cette fois-ci, la talentueuse Nicole Ferroni épaulée par le non moins remarquable Ahmed Sylla (qui a le toupet, par-dessus le marché, d'être tout jeune : 22 ans, un gamin, quoi !).
 
Je dois avouer que je jalouse leurs idées ainsi que la mise en scène... Du beau travail !
 

samedi 1 décembre 2012

Dis... love me ?

Eh bien, en cherchant un peu, j'ai aussi trouvé un autre extrait de l'album "Monkey Me" de Mylène Farmer : Love dance (juste ici).

Vivement lundi !

L'ombre de soi-même

Pour tous ceux qui, comme moi, ont manqué le passage du nouveau clip de Mylène Farmer sur TF1 à 20h40, voici une session de rattrapage. Réalisé par Laurent Boutonnat, il s'inspire du sculpteur Olivier de Sagazan. Vous pouvez d'ailleurs vous documenter sur les travaux de cet artiste sur le corps et la défiguration .
 
Comme tout clip de Mylène, il est quelque peu déroutant... mais pousse à la réflexion.  A vous de juger !
 
A l'ombre de Mylène Farmer, c'est ici !
 
Bonne séance !